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UN PROLONGEMENT DURANT LA PREMIÈRE GUERRE MONDIALE
L’imaginaire de la chasse constitue un prisme idéal pour dédramatiser le
Traitement visuel de la guerre et montrer cette dernière comme un prolongement possible d’une violence balisée et coutumière…Ce subterfuge, plus ou moins conscient de la part du dessinateur, permet de constater une fois de plus les lignes de cohérence entre dessin satirique de guerre et humour de temps de paix.
Le poilu (embarrassé) : " Lequel ? "
" T’en fais pas vieux sanglier, mais qui va à la chasse perd sa place ! "
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